Bonjour à tous.
Pas besoin de trop fouiller; il suffit de se rendre sur
Distrowatch pour s'en rendre compte.
Je crois cela inhérent à la philosophie du libre. Chacun, avec ses capacités de développeur, y va de sa distribution. Il en provient de tous les pays.
Personnellement j'aime ce concept.
C'est en effet pléthorique, il y a les majeures qui demeurent car, certainement, plébiscitées; d'autres s'arrêtent faute de temps et de personnel. Chacun se fait une idée et trouve chaussure à son pied.
Les applications les plus connues (non libre) ou leurs équivalentes y sont natives et la sécurité y est plus intrinsèque. Avec une communauté réactive.
C'est cette immense capacité de personnalisation et d'exploration qui caractérise Linux, selon moi. Pour une seule distribution donnée, outre les environnements de bureau, vous pourrez avoir tout autant de bureaux et d'organisations que d'utilisateurs.
Du sur mesure, pourrait-on dire, au lieu de prêt-à-cliquer. Certes, on doit parfois ouvrir le capot mais on sait ce que l'on fait.
Je n'ai pas tout assimilé depuis mes 6 ans sous Linux, loin s'en faut mais j'y ai trouvé une réponse à mon besoin.
Tout n'est pas parfait sous Linux. Les intégrations logicielles ne sont pas toujours des plus heureuses selon la distribution et les environnements mais j'estime cet obstacle mineur.
Je rejoins Tesgaz dans son appréciation d'Ubuntu que je n'aime pas - un mécène ou bien un censeur peuvent conduire à des dérives propriétaires. La preuve la plus flagrante pour moi est Ordissimo.
pierre a écrit:
Voilà, vous savez pourquoi !...
Vous savez pourquoi Linux stagne à 1,2% de parts de marché en là ou Windows occupe 91% et OSx 7%....
Ça me va tout à fait. Ça oriente les malveillants de tout crin vers des OS plus faillibles, plus disposés et plus nombreux. Les forums de décontamination nombreux en témoignent.
J'ai réellement apprécié Windows 7 avec lequel je reste proche par mon travail. XP a presque disparu. Ça m'évite des failles de mémoire en cas de support utilisateur.
Je comprends parfaitement les réticences de beaucoup, fervents utilisateurs de Windows, pour des raisons tout aussi recevables.
@+